7 Octobre

Oct 7, 2018 | Claret avec toi

« Honorons (…) la Très Sainte (Vierge) Marie, notre très tendre Mère ; imitons ses vertus, offrons-lui continuellement nos offrandes, recevons fréquemment, en son honneur, les saints sacrements, et n’oublions pas que le chapelet constitue une des dévotions que lui sont les plus chères »
Lettre Ascétique… au président d’un des chœurs de l’Académie Saint Michel. Barcelone 1862, p. 45

MARIE, AUDITRICE ET PRIANTE

Le Rosaire
La récitation du Chapelet, si vivement recommandé par Claret comme effective dévotion mariale en vue de l’apostolat, est restée pour bien de chrétiens, reléguée à l’oubli. C’est sans doute pour ça que le magistère de l’Église l’a revalorisée dans plusieurs documents récents.
Il est évident que l’Église ne puisse pas reléguer la Mère de son Seigneur. Pas plus qu’on ne doit pas l’exalter la mettant presque au même niveau de son Fils. Toujours subordonnée à lui, Marie a sa place dans la mission salvatrice du Fils : sa fonction de médiation maternelle.
Elle est, de plus, modèle pour le peuple fidèle quant à accueillante de la Parole. Dans ce contexte le Chapelet recouvre sa significativité, prière évangélique centrée sur le mystère de l’Incarnation rédemptrice, et qualifiée par Pie XII comme étant « compendium de tout l’Évangile ». Le Chapelet est une prière-méditation des mystères de la vie du Fils sous le guidage de Celle que fut unie à Lui depuis Bethleem au Calvaire, événements qu’elle gardait et méditait dans son cœur (Cf. Lc 2, 19 et 51) : « la joie des temps messianiques , la souffrance salvifique du Christ et la gloire du Ressuscité inondant l’Église » (Paul VI, 1974, dans l’Encyclique Marialis cultus n. 49)
Les Papes –rappelait Paul VI- « ont recommandé bien de fois la fréquente récitation du Chapelet , favorisée sa diffusion, illustrant sa nature, reconnue l’aptitude à développer une prière contemplative, de louange et de supplication en même temps, rappelant sa connaturelle efficacité à promouvoir la vie chrétienne et l’élan apostolique » (Marialis cultus n. 42). Claret l’inculque à l’apôtre, qui a comme tâche l’identification avec le Christ dans son service au monde. Contempler le visage du Christ, et le contempler avec Marie, furent le programme que (saint) Jean Paul II signala à toute l’Église à l’aube du troisième millénaire, l’invitant à affronter avec enthousiasme la nouvelle évangélisation.
En tant qu’apôtre, quelle qualité de la Vierge Marie j’admire le plus et je considère, en ce qui me concerne, comme étant la plus nécessaire ? Pourquoi ?

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